Conclusion

Au terme de notre travail, nous avons donc compris qu'il était possible de cultiver sans chimie ou bien de réduire fortement leur utilisation. Il n'existe pas une seule mais une multiplicité de solutions. L'essentiel est de diversifier les productions.

Nous avons par ailleurs constater que les intrants utilisés en agriculture conventionnelle causaient de sérieux dommages à la Terre et aux êtres vivants. Leur utilisation en excès entraîne en effet toute sorte de problèmes touchant aussi bien les eaux, les sols, les hommes que les animaux. Nous nous rendons très peu compte de l'impact de ces produits sur notre monde, dû à un manque d'informations.

C'est pourquoi l'agriculture biologique s'est présentée comme une alternative. Elle est actuellement en pleine expansion et très populaire chez les personnes souhaitant adopter un mode de vie plus sain. A travers diverses techniques cette pratique cherche à préserver les sols. En interdisant l'apport de pesticides de synthèse et d'engrais chimique, elle permet une amélioration de la santé. Toutefois, encore une fois cela dû à un manque d'informations, la population n'est pas mise au courant que le bio peut détenir des intrants chimiques, une marge étant accordée aux agriculteurs. Elle reste du moins aujourd'hui la pratique respectueuse de l'environnement la plus utilisée. De nombreux agriculteurs cherchent notamment afin de faire face à la mondialisation à s'associer via les AMAP par exemple, et recherchent surtout la proximité qui selon eux est primordiale.

De nouveaux procédés voient peu à peu le jour. L'objectif principal n'est pas de mettre en place de vastes espaces de culture mais plutôt de créer une multitude de petites fermes, plus proches des populations et diversifiés. Rapidement, un nouveau problème va se poser à nous : Comment supprimer notre dépendance au pétrole ? L'agriculture est à ce jour très mécanisée, c’est pourquoi la culture de plus petites parcelles nous aiderait à reprendre petit à petit, un travail manuel.